La conception selon laquelle Dieu serait à l’origine de la formation des planètes est à écartée. En réalité, avec les expéditions dans l’espace, les astronautes et les experts en étude planétaire ont prouvé que cette formation de planète autour du système solaire est scientifique. Ils avaient donc conclu que les planètes les plus géantes se formaient autour d’un noyau très massif. Ils le pensaient vraiment jusqu’au jour où, une expédition analyse l’exoplanète Wasp-107b et installe le doute dans leurs esprits.
À la découverte de l’exoplanète
La dernière expédition de 2019 rapporte que les chercheurs ont découvert dans l’atmosphère d’une planète de l’eau. Et d’une façon très surprenante, Caroline Piaulet, astronome à l’université de Montréal (Canada) faisant partie de l’expédition, dévoile ses recherches sur une exoplanète Wasp-107b en affirmant que ‘’ la masse de son cœur serait bien plus faible que ce que pensait la communauté ‘’.
L’exoplanète dont il est question a été le fruit d’une expédition en 2017. De plus de 212 années -lumière de la planète bleue, elle se trouvait dans la constellation de la Vierge. 16 fois plus proche de l’étoile que la planète terre, son orbite lui permet de faire le tour en 5,7 de nos jours. C’est un paradoxe qui joue sur sa capacité à retenir l’atmosphère qui lui est propre.
Un noyau moins grand que celui de Jupiter
Afin de mieux appréhender la nature de l’atypique planète, des études ont été menées par les astronautes pour déterminer sa constitution. Ainsi, ils sont arrivés à la conclusion selon laquelle ‘’ la masse du noyau solide de Wasp-107b ne doit pas dépasser quatre fois celle de la Terre. ON remarque donc que plus de 85 % de la masse totale de la planète se retrouve dans la couche de gaz qui entoure ce noyau ‘’. Comparativement à la planète Neptune, c’est une surprise car cette dernière n’a presque pas 15% de sa masse dans ce gaz.
La conception des astronautes qui faisait penser que les planètes géantes ont besoin d’un noyau massif pour leur formation est donc remise en question. En fait, pour que ce type de planète puisse se retrouver dans l’atmosphère, avoir un noyau massif est une des conditions. Malheureusement, cette planète prouve le contraire de toute la déduction faite par les astronautes.